L'Armoire polyphonique
Artiste:
Description:
Le principe est simple : trois polyphonistes dans une armoire attendent que les portes s’ouvrent pour chanter l’une de leurs compositions, aux paroles joyeusement anachroniques. C’est une vieille armoire oubliée sur le bord d’un chemin ou sur le trottoir d’une rue, sur l’herbe d’un parc ou au fond d’une forêt. Une pancarte « ouvrez-moi » invite le public à ouvrir les portes de l’armoire. Lorsque quelqu’un s’y aventure, on découvre les trois membres du Bureau d’Études de la Chanson, dans d’intrigants costumes à l’époque incertaine, entassés à l’intérieur. Régulièrement, les trois polyphonistes hissent l’armoire sur leur dos, et s’en vont la poser un peu plus loin.
Durée:

Halle aux Grains
1, place Dupuy
Haut lieu dédié à la musique
Après avoir été depuis 1864 un marché couvert destiné au commerce des céréales, un palais des sports en 1952, la Halle aux Grains devient une salle de concert en 1974. Cette année-là, Michel Plasson, le chef de l'Orchestre du Capitole de 1968 à 2003, découvre l'aspect original et les vertus acoustiques de ce superbe édifice hexagonal placé au centre ville. À sa demande, la Mairie de Toulouse mettra tout en œuvre pour installer confortablement l'Orchestre du Capitole à la Halle aux Grains, où il réside encore aujourd'hui.
Ce lieu magique peut accueillir 2200 personnes assises tout autour de l'orchestre. En 1988, la mairie de Toulouse fait appel à des architectes, des scénographes et des acousticiens afin d'augmenter le confort des spectateurs, d'améliorer l'acoustique de la salle et d'en multiplier les possibilités techniques. Grâce à tous ces travaux d'embellissements, la Halle aux Grains est considérée comme un des plus hauts lieux musicaux en Europe.

L'Armoire polyphonique
Le principe est simple : trois polyphonistes dans une armoire attendent que les portes s’ouvrent pour chanter l’une de leurs compositions, aux paroles joyeusement anachroniques. C’est une vieille armoire oubliée sur le bord d’un chemin
ou sur le trottoir d’une rue, sur l’herbe d’un parc ou au fond d’une forêt. Une pancarte « ouvrez-moi » invite le public à ouvrir les portes de l’armoire. Lorsque quelqu’un s’y aventure, on découvre les trois membres du Bureau d’Études de la Chanson, dans d’intrigants costumes à l’époque incertaine, entassés à l’intérieur. Régulièrement, les trois polyphonistes hissent l’armoire sur leur dos, et s’en vont la poser un peu plus loin.